Z.STUDIO facilitateurs BIM - CIM.

Nous avons participé à créer les rôles d’AMO BIM, du BIM manager, de formateur BIM, qui sont des activités distinctes, indépendantes, parfois complémentaires et opposées. Nous sentons la nécessité, dans bien des cas, d’être non pas dans un camp (maîtrise d’œuvre ou maîtrise d’ouvrage) mais au centre, si ce n’est au dessus, spécialiste BIM au service de tous, garant du bon déroulement du processus BIM, pour la bonne réussite des projets concernés.

Nous pouvons alors intervenir aussi bien sur des sujets contractuels que techniques, au côté de notre client mais aussi au service de ses prestataires et partenaires (en veillant naturellement à éviter les situations d’immixtion et de confusion des rôles et les responsabilités ).

Dépasser le simple cadre d’une mission classique d’AMO BIM où nous sommes derrière le MOA pour appliquer des recettes déjà en partie connues, pour devenir un prestataire au service de l’ensemble de l’équipe projet (MOA -auprès de ses différents services-, MOE, ENT, autres intervenants), qui pousse et qui tire, avec bienveillance et exigence, avec technique, pédagogie et psychologie.

 

NOS CONVICTIONS : 

  • Il ne faut pas « faire du BIM pour le BIM »
  • Le BIM n’est qu’un MOYEN, outils et méthodes, au service du PROJET et de ses ACTEURS ;
  • Il faut savoir POURQUOI on fait, on veut faire, on nous demande de faire, du BIM, les questions COMMENT, QUAND, QUI, COMBIEN… ne viennent qu’ensuite ;
  • Le BIM c’est 20% de technique et 80% d’humain, la technologie compte beaucoup moins que la collaboration, avec l’écoute et l’accompagnement des équipes ;
  • Le BIM doit être Open BIM pour être collaboratif, reposant sur des formats standards et ouverts, permettant à chacun d’utiliser les outils de son choix, dans une logique d’intéropérabilité avec ceux des autres intervenants des projets, dans le respect agile des normes (ISO 19650) et du bon sens
  • Dans la plupart des cas, la question ne se tranche pas en OUI ou NON, mais en déterminant où placer le curseur
  • Il ne faut pas chercher à faire tout ce qui est possible avec les outils et les processus, il faut se contenter de faire ce qui est nécessaire et suffisant, en regardant loin mais avec des objectifs simples et court-terme et en évoluant petit à petit
  • Il faut une approche pragmatique du BIM, utile, sereine, voire frugale 
  • La démarche BIM sera efficace et réussie si chacun des intervenant y trouve son compte, y constate un avantage pour lui, chacun à sa façon, ce que nous appelons le « BIM égoïste »;
  • Un cahier des charges BIM ne doit pas être plus gros et complexe que le cahier des charges de l’opération de construction qu’il accompagne !
  • Une liste de cas d’usage, ou une liste de paramètres pour les équipements d’un bâtiment, n’est pas une liste au Père Noel, surtout si on en coche tous les éléments !
  • Penser à intégrer le BIM comme un projet organisationnel